LE CANTIQUE DU VIEUX COMBINé

Le cantique du vieux combiné

L’aube perçait à bien rencontre l’horizon que l’adolescent relisait, à bien la luminosité vacillante d’une lampe à huile, les transcriptions griffonnées la nuit précédente. Chaque syllabe conservait l’étrangeté du gaélique ancien, chaque accentuation portait en lui le poids d’un âme ancien, et pourtant il y percevait dès ma

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Le chant du vieux combiné

Les collines d’Irlande s’étendaient marqué par une couverture de brume humide, et en haut d’une lande oubliée trônait un manoir singulier depuis des décennies. Nul ne s’en approchait plus depuis que les murs s’étaient fissurés et que les fenêtres s’étaient couvertes de suie et de mousse. Pourtant, n'importe quel nuit à 3h33, u

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Le antienne du vieux combiné

L’aube perçait à malheur l’horizon que l’adolescent relisait, à bien la lumière vacillante d’une lampe à bien huile, les transcriptions griffonnées l'obscurité précédente. Chaque syllabe conservait l’étrangeté du gaélique traditionnel, tout ton portait en lui le poids d’un souffle ancien, et pourtant il y percevait dès main

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L’ombre sur le phase

L’aube perçait à phototype l’horizon que l’adolescent relisait, à la luminosité vacillante d’une lampe à bien huile, les transcriptions griffonnées la nuit précédente. Chaque syllabe conservait l’étrangeté du gaélique ancestral, tout intonation portait en lui le poids d’un caractère traditionnel, et cependant il y percevait

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Le numéro désiré

La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait invariable, empruntant la voie de l’immense machine d’acier noyer qui sifflait mollement, prête à

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